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Hélène Nutkowicz |
In the days of the Bible, women appeared most often bareheaded, as do testify different stories like those of Abram and Saraï, or Isaac and Rebecca. Of course, many exceptions are known, which are linked to special situations. For example, the encounter between Rebecca and Isaac shows the heroine who covers her head when seeing him. The veil means something particular, it is the symbol of a ritual, a change of state, from bride to wife. Tamar, co vers hcrself with a veil, in order to bring her plan to a successful conclusion. Many other examples confirm the symbolic meaning of the veil, so Moïse puts on a veil in private, after his encounters with God, mouming people wear a veil on their head or on their face. So, during the period of the Bible, if the veil has particular symbolic meanings, the shawl belongs to social customs. |
In the period of the Talmud, the symbolic meaning does not disappear, and goes on. Anyway, at that time, a lady cannot anymore go out bareheaded. Social customs have changed. And the veil preserves its symbolic aspects |
Paul-Augustin Deproost |
Paul Meurant |
Charlotte Lebrun |
Jacques Freu |
Lire l’extrait de l’article (pdf) mis en ligne le 7 janvier 2006 |
Michel Mazoyer |
Bernard Sergent |
Jacques Freu |
Jacqueline Boley |
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Nous remercions de même Madame Boley de nous avoir confié la publication de cette intervention majeure. |
André Motte |
Dans la Grèce antique, la présence d'un arbre, surtout lorsqu'il surgit dans un espace dégagé, est souvent chargée de valeurs religieuses et symboliques. On en donne ici deux illustrations qui présentent certaines affinités, la première étant liée à une évocation mythique ainsi que liturgique, la seconde servant de décor à une sorte de roman philosophique. On se souviendra que, depuis l'Académie de Platon, les écoles philosophiques ont souvent élu domicile dans des jardins. |
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Catherine Cousin |
Bocages et prairies constituent en Grèce ancienne des endroits privilégiés, à la végétation luxuriante. Néanmoins, les bosquets de Perséphone (Odyssée X, 509) et la prairie infernale (Odyssée XI, 539 et 573 ; XXIV, 13) font exception puisqu’ils sont caractérisés par une quasi-désertification végétale. Il faut donc s’interroger sur les raisons de l’emploi de tels termes et sur les conséquences que cela entraîne sur la vision imaginaire de l’espace infernal. |
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Isabelle Klock-Fontanille |
Les jeux et les stratégies du pouvoir : l’art de la déformation historique dans l’autobiographie de Hattušili III |
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Michel Mazoyer |
Quelques remarques à propos du verbe karš- et du substantif karaš. |
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Jacques Freu |
L’origine des indo-européens et de l’indo-européen a donné lieu à des discussions sans fin. Etat de la question aujourd’hui. |
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Jean-François Blam |
Le Mythe hourrite de de Kumarbi, qui constitue un des mythes les plus célèbres de l'antiquité, est connu grâce aux tablettes cunéiformes venant de Hattuša, la capitale hittite ; on sait qu'il existe d'étonnantes analogies entre ce mythe et la Théogonie d'Hésiode. J.F. Blam qui travaille sur cette question propose l'édition d'un nouveau "joint". |
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